Souvenirs de Boisdoré

 

Ballade de BOISDORE

[A chanter sur l'un des airs du générique de Tom Sawyer, "haut comme trois pommes, Tom Sawyer est un gentil garçon, qui n'aime pas l'école et préfère pêcher des poisson.... ! ! ! !]

C'est un joli village

Boisdoré louera votre arrivée

Perdu dans les feuillages

Longtemps il vous faut pour le retrouver

 

Boisdoré est plein de copains

Qui tapotent dans leur p'tites mains

Boisdoré est plein d'artisans

Qui font de beaux et chouett'présents

 

C'est une chouette auberge

Où il fait bon bore de l'hydromel

C'est la que converge

Gentil et joyeux ménestrel

 

La Chopine en métal blanc

Vous préparent des plats succulents

La Chopine en pure mirthrill

Enchantera vos papilles

 

Ce sont de petites gens

Adorables et vraiment sympathiques

Qui sont toujours présentes

Pour vous rendre la vie féerique

 

Boisdoré un havre de paix

pour qui saura le respecter

Boisdoré vraiment idéal

Pour soulager toutes ses fringales

 

C'est un beau village

Je suis sûr que vous l'apprécierez

J'suis peut être volage

Mais j'adore vous le rappeler

 

Tatata.... tatatatatata

Tatatataaaaaaata

Tatata.... tatatatatata

Tatatataaaaaaata

Tatatatataaaaaata

Tatatatatatata

Tatatatataaaaaata

Tatatatatatata...

 

La ballade de MAX PEDIPOIL

[HJ prendre chacun des couplets sur l'air du non moins célèbre refrain de Chantal Goya, ce matin un lapin a tué un chasseur ! pour ce qui ne le connaisse pas désolé !]

Un matIN un gamIN   BibouldINGUE ! pataSSELLE !
Parlait-au mann'quIN   Concerts d'étinCELLES
C'était un mann'quin QUI,   PEDIPOIL le sorciER
sautait de son LIT !   Les mann'quins bougEAIENT !
     
Ce petIT c'était MAX   Grosse betISE ou folIE
Et voulait une vASQUE,   Les mann'quins en vIE
car CAMBER l'éruDIT   Volèrent et tuE-RENT
le lui avait DIT !   Meme MAXOU leur frERE !
     
ParcourANT ODYSSEE   Dans le nOIR des cafARDS
Les produits cherchAIT,   Et des vers peinARDS
C'était des produits QUI,   Le gamin sans corps, vIT
Devaient faire du brUIT !   Le Dieu HOROSIS !
     
Des casserOLES et des fiOLES   C'était DONC sans compTER
Pour des idées fOLLES,   Au Bla Bla parLE
Il poussa de grands CRIS,   Et c'est en l'énerVANT
que des mots éCRITS !   Qu'MAX est donc viVANT !

Et malheur à ceux qui l'entendait car il devait le garder en tête le restant de la journée Une de mes premières œuvres sur mon petit ami uniquement pas la taille MAX PEDIPOIL, que le sourire ne le quitte jamais.

 

ANDOLYNE MECHEDEFEU

[Sur l'air de petite Marie du non moins célèbre Francis Gabrel]

 

Petite Andolyne, je chante pour toi

Parce qu'avec ton jolie minois

Tu charmes la vie, tu l'embellies

Avec tes rires gais

 

Petite Andolyne au rire si charmeur

Cristallin et si aguicheur

Tu laisses le vent soulever, cramoisi

De tes cheveux défaits

 

J'entends les vents et les nuées légères filer dans tes cheveux

Et vois le cœur d'un ange tombé du ciel se perdre dans tes yeux

 

De ta folie et pitrerie

Tu l'inspires en gamin'rie

Mais sais tu que ta vie

Inspire celle d'un ami....

 

Petite Andolyne, tu brilles à chaque pas

Et éclaire de mille feux ta voie

Tes paroles furtives et sourires

Laissent mémoires gaies

Petite Andolyne, brilante d'émoi

ravageur tu l'attiras à toi

 

Prétendant unique et gentil

Fut Thalen amadoué

Et ce garçon en toile pris

De fils d'or séduit

Tes baisers bien remplis

Te laissèrent flattés aussi

 

J'entends les vents et les nuées légères filer dans tes cheveux

Et vois le cœur d'un ange tombé du ciel se perdre dans tes yeux

 

Petite Andolyne, je prête ma voix

Pour que dans ce continent là

On sache reconnaître à l'infini

Tes petits doigts de fées

 

Petite Andolyne, tu connais déjà

Les sombres couloirs de rats

Mais tu as su t'en sortir , aussi

Et d'un spectre aidé...

 

De ta vie et péripétie

Tu inspire chansonnerie

D'un barde aussi séduit

Que sont les étoiles à la nuit...

 

J'entends les vents et les nuées légères filer dans tes cheveux

Et vois le cœur d'un ange tombé du ciel se perdre dans tes yeux..."

 

On entendit encore la mélodie continuer à être jouer pour laisser

les esprits rêveurs se faufiler dans les méandres oniriques

des fugitives danses féeriques...

 

Veillée à Boisdoré

 

Et les mots s’envolèrent

Au firmament stellaire

Envahirent les esprits

Octroyant apathie

Elle s’avança, posée

Entre les grands piliers

D’une démarche éthérée

Mélodie éthérée

Merveilleuse harmonie

Pour des âmes envahies

Et les notes retombèrent

Abandonnant bel air

Un instant infini

En simple allégorie…

 

Concours de rimes reportées

C’est un grand honneur et plaisir de participer

A concours de vers et d’alexandrins narrées

Permettez à humble ménestrel, présenter

Sa verve et son imagination indomptée !

Alors donc sans sujets et thèmes non imposés

Dois-je dégainer mon estoc récité

Pour affronter rimeur au talent inégalé

Jour de rimes et de mots pour le détrôner…

 

Devinette

Aurai-je espérer vous faire deviner

Zest d'humour, mots-clé, énigmes racontés,

Ecoutez mes paroles dévoilant mon secret

Lisez donc mes mots pour solutions prêtées

Un verre ou des piécettes pour qui va me donner

Non pas ce que je suis mais aussi ce que c'est

 

RECONSTRUCTION DE BOISDORE

Hommages

[sur l'air de l'adagio]

Sombres colonnes noires

Temple de désespoir

S'élevant vers mornes cieux

Triste moment désastreux

Laissant funeste destin

dédain,

 

Que reste hommage et souvenir

A ceux vivants qui virent mourir

Innocence terribles et bonheur

En ces terribles heures

Où tristesse demeure

Ténèbres grandissantes

Grande peur lancinante

Disparaissez de leur cœur

Que reviennent leur bonheur

Que soit chassé grandes peurs

Malheurs

 

Pour ressentir ainsi

Une nouvelle vie

Et ces démons partis

Renaisse ce village

Que chaque âme s'engage

Unissez chaque volonté

POur qu'il puisse se relever

Qu'enfin revienne la fête

parfaite

 

Que mes notes vous donne courage

Et vous rendent vie volage

Et que la fête revienne

Oubliant cette haine

Eloignant toute peine...

Le village de Boisdoré n’était plus que tristesse et désolation. Il était revenu avec Dara et les enfants sauvés de justesse. La fumée des incendies continuait à s’élever et un petit air triste mais clamant espérance fut de mise.

 

UNE PLANTATION UNIVERSELLE

[Sur de San Francisco, Maxime le Forestier]

Volutes des beaux champs

Eprouvant sentiments

A vers enchantés déclarant ma flamme

Imprégnant mon âme des jardins secrets

Ils se sont réunis

Venant de tous les pays

Déposant offrandes symboliques et belles

Naturel autel en étrange lande

Et Boisdoré se recueille

Et Boisdoré sous les feuilles

Ô Boisdoré, chante la paix

Racines et plantes, prières et vénusté

Déesse de beauté

Dépose regard bleuté

Admire ces contrées respire ce parfum

De ces doux jardins dans cette envolée

Ecoute nos paroles

Racontant nos simples oboles

Unifiant racines de primal emblème

A ce grand baptême d'essence divine

Et Boisdoré s'illumine

Et Boisdoré tambourine

Le Nom des Dieux sera prié

Un court instant, léger et raconté

Que ce nouveau verger

Maëlstrom de nos contrées

Grandisse et prospère en ce lieux béni

Que soit infini leur reflet d'Aether

A Shanya je dédis

Charme d'une poésie

Pour qu'encore une fois elle vienne bénir

De sa voix, grandir, brille son Aura

Et Boisdoré fêtera

Et Boisdoré chantera

Pour retrouver toute son âme

Frivole et pure, des mots qu'encore je clame...

 

FÊTE A BOISDORE

Tournoi de poésie

 

Oyez ! Oyez ! Gens de fête de Boisdoré

Impatients de connaître notre verdict donné

Car les ménestrieux ont enfin délibéré !

Commençons par premiers quatrains cités :

Boisdoré, ville que j'admire sans pareil

Qui me laisse tisser des rêves labyrinthes

J'apprécie ses parcours effrénés qui m'éreintent

Qui comblent mes regards et mon cœur de merveilles

Foby montre ainsi son amour de Boisdoré

Mais il n'est pas celui qui a charmé

Deux ménestrieux sensibles aux vers donnés

Quel beau sujet que cet amour de Boisdoré

Quoi de plus beau que simple doux mot :"Merci"

Donner le sourire, quoi de plus récompensant

Faire naître la joie dans moi cœur quoi de plus béni

Asrélia mérite donc hommage des plus grands

Linda, inspirée nous gratifie son amour

D'un village meurtri mais qui revois le jour

Merci, oui est le mot pour ce jolie quatrain

Mais le seul prix offert de nos mains

La foi des âmes, des montagnes peut soulever

A travers les ténèbres la vie ramener

Et faire que le beau village de Boisdoré

Retrouve joie, fierté et rires enjoués

Zark alors pria et vint aussi porter

Ferveur pour un village aux accents printaniers

Tous nos remerciement pour ces vers narrés

Mais sera la seule récompense motivée

Légendes oubliées ne reviendront jamais

Et les anciens contes racontés près du feu

Défaillent dans nos mémoires, lacune gai

Preuve que nos mythes s'effacent peu à peu

Le silence de Shana ne l'a pas empêchée

D'exprimer, nostalgiques évènements passés

Que ses vers émouvant de lugubres destins

Ne soit pas retenus et n'attire son dédain

Hanté par son sourire, doux et triste souv'nir

Y-a-t-il un remède, à ce mal qui m'obsède

Renoncer, oublier, jamais je ne pourrai

Y parviendrai-je un jour à gagner son amour

Autre que Boisdoré, l'Amour est à l'honneur

Emouvant, transcendant, apportant le malheur

Pour celui qui ne sait survivre à ses passions

Wolfram sera encouragé mais pas champion

L'amour est le sentiment des Dieux et Déesses

Il prend sans espérance de retour le cœur

D'un innocent qui n'en demande qu'un nouveau

Pour pouvoir mener sa vie sans une faiblesse

Ô Robin troublé par le flot de ses passions

Ne sut trouvé rimes et ne fit pas attention

A ce cœur esseulé répondant à l'écho

D'un malheur ? D'un bonheur ? Il ne trouva mot

J'ai croisé mon ami, en chemin par hasard

Il hurlait étourdi de sa voix éraillée

Comme pris de folie, dansant dans le blizzard

Il a vu m'a-t-il dit, les étoiles briller

D'entre les ténèbres apparaît soubresaut

Dernier vestige de son humanité prévaut

Pour qu'un être tourmenté puisse libéré

Son âme, ni hait ni oublié par pensée

J'entends le vent doucement me souffler mes mots

Ils dansent dans le feu qui caresse ma peau

Je vois dans l'eau les présages de mon destin

La terre pleurera lorsque viendra la fin

Attentif à cette nature qui l'a inspirée

Hakaré mérite notre regard posé

Il a su trouvé belles paroles enchantées

Méritant mélodie d'une harpe pensée

Souffla le vent en envolant les faibles feuilles

Une brise couvrit le royaume tremblant

Siffla un long soupir autour de beaux cerfeuils

Fantar rappelle encore le soleil couchant

Ah ! Damoiselle Sihara qui nous a émus

De ces vers nostalgiques d'un royaume abattu

Veuillez accepter de la main de Dara

Le troisième prix de ce poétique tournoi

Être angélique, possession illusoire

Joyaux d'émeraude perçant dans la nuit noire

Ta vision me consumes le corps de désirs

Et mon âme brûle pour toi avec plaisir

Ainsi l'ivresse de sentiments inspira

Ce quatrain rimé qui permettra à Dara

De récompenser le lyrisme de Konrad

Méritant cette place dans cette parade

D'une albâtre pâleur de mielleuse clarté

Douce étreinte glacée et lascive chaleur

Tels amants passionnés, jouissant de cette heure

Où mourante noirceur enlace la journée

Délice du verbe sera récompensé

Car alliant savantes contextures agencées

A rythmes enchanteurs des rimes entrelacées

Nimnae a su par sa verve s'imposer...